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La Demi Heure Radio Active : l’émission de contre-propagande sur le nucléaire

24 janvier 2016

Depuis juin 2011, le Collectif Antinucléaire 13 anime une émission de contre-propagande sur le nucléaire  « LA DEMI-HEURE RADIO ACTIVE »,  car nous ne pouvons nous résoudre à rester des cobayes inactifs de cette industrie et les victimes potentielles de la prochaine catastrophe

les 2ème et 4ème mardis de chaque mois, en direct à 14h15, sur Radio Galère (à Marseille et les environs, 88.4 fm et sur le site de la radio http://www.radiogalere.org. Rediffusion le jeudi de 12h à 12h30)

VOUS POUVEZ CONSULTER TOUTES NOS EMISSIONS ICI

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Colloque « Effets sanitaires du nucléaire », Marseille, 2009

24 janvier 2016

A l’initiative d’un groupe d’antinucléaires marseillais, s’est tenu en octobre 2009, un colloque sur les effets sanitaires du nucléaire.

Nous ne savions pas alors, qu’un peu plus d’an après se produirait la catastrophe de Fukushima.

Les conséquences sanitaires de ce désastre, tout comme celles de la catastrophe de Tchernobyl, sont toujours et seront pour longtemps d’actualité.

C’est pourquoi nous vous proposons de revoir les interventions de cette journée de colloque ici .

Programme :

  • « Rappel des notions de base sur la radioactivité; rejets des installations nucléaires, les déchets de l’ensemble du cycle et les conséquences évaluables pour la santé », Roland Desbordes, physicien, Président de la CRIIRAD.
  • « Le cas du tritium », Monique Sené, physicienne retraitée du CNRS
  • « Pathologies thyroïdiennes après Tchernobyl : l’exemple de la Corse », Denis Fauconnier, Docteur en Médecine.
  • « L’effet des faibles doses internes chroniques; l’accord OMS-AIEA bloque la recherche sur Tchernobyl », Michel Fernex, Professeur émérite, Faculté de Médecine de l’Université de Bâle.
  • « Les normes européennes protègent l’industrie nucléaire, pas la santé », Paul Lannoye, Docteur en Sciences Physiques, administrateur du GRAPPE.

Fukushima : Emission Spéciale 11 mars 2015

18 octobre 2015

De nombreuses questions soulevées dans cette émission spéciale Fukushima, quatre ans après le début de la catastrophe nucléaire dans la centrale de Fukushima Daiichi.

La centrale de Fukushima est-elle « sous contrôle » ? De l’eau contaminée est-elle encore rejetée dans l’océan Pacifique ? Quels sont les effets sanitaires de la catastrophe ? Quel est le rôle de l’Etat, des organisations internationales censées protéger les populations ? Quel est le rôle du lobby nucléaire international ? Quel est le sort réservé aux réfugiés et comment les populations sont-elles encouragées à revenir en territoires contaminés ? Plus généralement est-il possible de se soumettre à cette « condition nucléaire » en attendant la prochaine catastrophe ?

Pour apporter des éléments de réponse :

De 17h à 18h : les aspects techniques de la catastrophe et ses effets sanitaires, avec Roland Desbordes, président de la CRIIRAD (Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la RADioactivité), et Kolin Kobayashi, journaliste indépendant.

De 18h à 19h : les déplacements de population et la notion de radio »protection », avec Cécile Asanuma-Brice, chercheur en sociologie urbaine, associée au Centre de Recherche de la Maison Franco-Japonaise de Tokyo et au laboratoire Clersé-Université de Lille, et Yves Lenoir, Président de l’association des Enfants de Tchernobyl-Belarus.

De 19h à 20h : le nucléaire, outil de soumission; la « condition nucléaire », avec Thierry Ribault, chercheur au CNRS, co-auteur de « Les Sanctuaires de l’Abîme », 2012, et Jean-Jacques Delfour, philosophe, auteur de « La Condition Nucléaire », 2014

Des textes récents des intervenants à retrouver sur :

https://lejournal.cnrs.fr/articles/a-fukushima-la-population-est-dans-une-situation-inextricable, par Cécile Asanuma-Brice

Fukushima : cogérer l’agonie, par Nadine et Thierry Ribault

http://echoechanges-echoechanges.blogspot.fr/2015/03/quatre-ans-apres-fukushima.html, par Kolin Kobayashi

Cette émission a été animée par Radio Galère à Marseille, Radio Libertaire à Paris, Radio Zinzine en Provence ; diffusée en direct sur Sud Radio à Toulouse, Radio Sainte-Affrique, Radio Vassivière ; et rediffusée sur Radio Bartas à Florac, l’Echo des Garrigues à Montpellier, Radio Escapades à Saint-Hippolyte du Fort, et Radio Larzac

Fukushima : le refuge dans l’illusion de la protection est-il salutaire ?

2 février 2015

Dans le contexte de la décision fin décembre 2014 par le gouvernement japonais de ré-ouvrir les dernières zones évacuées après le 11 mars 2014, Cécile Asanuma-Brice, spécialisée dans le domaine de la sociologie urbaine, est chercheur associée au laboratoire du CLERSE à l’université de Lille et au centre de recherche de la Maison Franco-Japonaise de Tokyo où elle vit depuis 15 ans, nous fait partager les conclusions de son étude sur les politiques de logement et de déplacements de populations suite à la catastrophe nucléaire de Fukushima. Elle nous explique comment les processus à l’oeuvre ont mis ces populations en péril alors qu’ils étaient censés les protéger.

 

Rencontre-débat avec JJ Delfour, philosophe et auteur de « La Condition Nucléaire »

11 septembre 2014

visuel tete de mort couleur copierRencontre-débat en juin 2014 avec Jean-Jacques Delfour, philosophe, auteur de « La Condition Nucléaire : réflexions sur la situation atomique de l’humanité », Editions L’Echappée, 2014

A voir sur http://youtu.be/xxOkIQQFXfc

La condition nucléaire est l’exploitation des générations à venir que l’on contraint à vivre au milieu des radionucléides et qui auront à gérer pendant des millénaires des millions de tonnes de déchets hautement radioactifs. La condition nucléaire est l’annulation de la valeur de l’humain et du vivant au profit de la jouissance technologique absolue, et, corrélativement, la négation de la différence entre démocratie et dictature, entre guerre et paix. Elle est aussi la destruction de la responsabilité éthique et de la valeur morale des actions, au bénéfice d’une extension illimitée du pouvoir des innovations technologiques, que l’élite technopolitique ne contrôle même plus. Elle est, sur le plan intellectuel, le renoncement forcé à la construction dialectique du savoir sur le réel et, conséquemment, le fait de devoir s’en remettre uniquement à la chance. La condition nucléaire est le retour du magisme au sein même du savoir technoscientifique moderne. C’est le projet anthropologique d’un surhomme débarrassé de la vie.


Le réacteur Astrid, un Superphenix dans le Gard : nouvelle fuite en avant des nucléocrates !

14 avril 2014

phenix feu atomique copierPour celles et ceux qui seraient intéressé-e-s à apprendre de la voix même des apprentis sorciers l’invraisemblable fuite en avant que constitue le projet Astrid (Advanced Sodium Technological Reactor for Industrial Demonstration), dont la mise en service est prévue au début des années 2020 à Marcoule dans le Gard, nous vous recommandons de visionner les videos filmées par le  Collectif Antinucléaire 13 durant une conférence organisée par la SFEN (Société Française de l’Energie Nucléaire) à Aix-en-Provence le 22 novembre 2012. Lire la suite…

Tract distribué à Marseille durant la conférence de Monsieur Vernaz, CEA, oganisée par la SFEN Paca

20 novembre 2013

L’enfouissement en profondeur des déchets HAVL et MAVL* est une mystification

 

Les nucléocrates ont créé une industrie qui génère des dangers inacceptables pour la poursuite de la vie humaine sur terre. Ils ont créé des problèmes gigantesques pour lesquels ils ne savent proposer de solutions car en effet ces solutions n’existent pas. C’est le cas pour les déchets radioactifs. Lire la suite…

Tract distribué à Saint Paul les Trois Chateaux durant la réunion publique préparatoire à l’exercice de « crise » du 7 novembre 2013 Tricastin

6 novembre 2013

soldat nucléaireVous allez être sollicités pour participer à un énième exercice de simulation d’accident nucléaire dû à une fuite de produit radioactif provenant du site de Tricastin. C’est l’exercice en lui-même qui est dangereux car il entretient l’illusion que des mesures peuvent être prises pour assurer la sécurité des populations. Cela n’est pas le cas, car rien ni personne ne vous protégera des conséquences d’une catastrophe nucléaire.

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Le Collectif Antinucleaire 13 dérange le Président de WANO : pas de champagne ce soir !

21 juin 2013

Le 21 février 2013, Laurent Stricker, alors Président de la WANO (World Association of Nuclear Operators – « Association Internationale des Exploitants Nucléaires »), invité à Aix-en-Provence par la SFEN (Société Française d’Energie Nucléaire), pourtant la fine fleur de la nucléocratie française, bardé de diplômes, expert patenté, ne résistera pas devant notre insistance à discuter avec lui de la limite de ses compétences. Tant pis, il ratera champagne et petits fours…. Belle fin de carrière !

« Parmi nos contemporains, je n’en connais que très peu dont la peur face à la possible apocalypse égale celle que leur inspirent des dangers aussi puérils que, par exemple, celui de perdre leur prestige ». Günther Anders, « La Menace Nucléaire, Considérations radicales sur l’âge atomique », Le Serpent à Plumes, 2006, p.273

ITER et le tritium : ils ne savent pas ce qu’ils font !

18 Mai 2013

bol iterLe Collectif Antinucléaire 13 a alerté à de multiples reprises sur le danger principal du projet ITER : l’utilisation de tritium, élément radioactif qui présente des risques sanitaires inacceptables (1). Le tritium est de l’hydrogène radioactif. Il se combine facilement avec l’oxygène pour produire de l’eau tritiée radioactive. Cette eau tritiée a la « désagréable » propriété de pénétrer sans obstacle toutes les formes de vie, dont bien sûr le corps Lire la suite…